Chasse aux camés

Il est vrai que je n’ai pas posté depuis bien longtemps. Et à vrai dire, je pense de moins en moins à mon blog. Je ne sais pas si j’ai envie de le laisser tomber définitivement, mais en tout cas je ne ressens plus souvent le besoin d’y écrire… J’avais bien sûr posté un note sur les caricatures de Mahomet, que j’ai retirée parce qu’elle était un peu trop agressive envers une religion que l’on devrait, selon moi, éradiquer…

Tiens d’ailleurs, à ce propos, j’ai encore constaté récemment que les gens ont peur d’aborder ce genre de sujet et de dire ce qu’ils pensent (ce qui est une raison permettant à l’islam de répandre ses tentacules gluants et puant la pisse sur le vieux continent).

Nous étions en cours d’anglais. Chacun devait écrire sur des petits papiers trois sujets différents, qui étaient mélangés par la suite dans une casquette. Chacun leur tour, les étudiants devaient choisir un papier au hasard et parler pendant trois minutes du sujet tiré. Moi bien sûr, j’en avais écrit un sur les caricatures de l’autre merde de prophète, et les conséquences que cela avait entraînées. Le gars qui l’a tiré était le dernier à passer. Il n’a pas voulu en parler. Un vote a été fait pour savoir s’il avait le droit de changer de sujet, alors que personne d’autre n’avait pu (ni voulu) le faire. Et bien sûr, le vote lui a donné raison. J’avais envie de vomir.

Sinon, pour changer de sujet, hier soir c’était mardi gras. Alors de gros nè*res suants et leurs acolytes camés sont venus faire cramer des trucs sur la place en bas de chez moi et taper sur des je sais pas comment ça s’écrit pour faire du bruit et m’empêcher de dormir. J’ai quand même réussi à somnoler jusqu’à ce que j’entende des cris sous mes fenêtres. Je n’y ai pas trop prêté attention jusqu’à ce que je perçoive « Sale fils de pute ! Rentre chez toi sale flic de merde ! » (ou équivalent), suivi d’une détonation puis encore des injures au milieu desquelles le mot « lacrymo » a retentit. Je me suis donc précipité à ma fenêtre et ai découvert avec grand plaisir une vingtaine de CRS juste en dessous de chez moi.

Des sales camés les ont insulté pendant une éternité, scandant entre autres, « CRS SS ». J’aurais aimé, vraiment, que des vrais SS soient là pour les massacrer. Bien sûr les policiers n’ont pas fait grand chose, je ne suis même pas sûr qu’il y ait eu ne serait-ce qu’une seule arrestation. Mais ce qui m’a vraiment choqué, c’est que tout le monde sans exception les insultait, sans comprendre quoique ce soit. A commencer par mes sales merdes de voisins du dessous. Je les hais, ces sales tentouses, ces pauvres saloperies qui mettent toujours le volume de leurs chiasse musicale à fond, faisant vibrer mon sol. Un jour c’est chez eux que j’enverrai les CRS.

Ah oui, autre truc. Les camés qui hurlaient comme des truies ont aussi évoqué l’argument que « Vous nous en voulez parce qu’on est jeunes, mais vous aussi vous avez été jeunes ! ». Je bavais de haine. C’est quoi ça, c’est la révolution ? Je ne sais même pas quoi dire là-dessus, il n’y a rien à faire, à part tuer cette vermine. La France a vraiment besoin d’être nettoyée, une bonne fois pour toutes.

Allez, j’arrête. C’est mauvais pour mon cœur.