21 janvier 2005
Zwei hundert zweiundsiebzig
Fin d'une semaine pas très
palpitante. Pas encore du moins. J'ai bossé un peu, revu mon tuteur de
stage, rencontré son associé, mes idées leur plaisent. Je suis content.
J'ai réalisé que finalement, j'avais fait, peut-être pas le plus gros
du travail mais le plus "difficile", parce qu'il a fallu que je
m'habitue à un langage que je ne connaissais pas. Maintenant je ne
dirais pas que je maîtrise, mais j'arrive à faire ce que je veux très
rapidement. Alors je suis content. Ce qui me réjouit moins, c'est le
rhume que j'ai chopé avant-hier. J'avais déjà un peu mal à la gorge en
début de semaine, mais rien d'alarmant. J'ai soigné ça gentiement, et
ça s'est calmé. Et finalement j'ai commencé à sentir que mon nez aussi
voulait s'amuser. J'ai eu l'excellente idée de me procurer des
médicaments avant de passer une nuit épouvantable. Je n'avais pas été
malade depuis plus d'un an, et même si je suis habitué à être dans cet
état parce qu'avant de déménager j'étais malade pratiquement tout
l'hiver (j'enchainais des rhumes qui duraient plus d'une semaine, parce
que je ne pense pas qu'aller au lycée les yeux brouillés par la fièvre
et le nez bouché en attendant une demi-heure tous les matins à 6h30 par
des températures ne dépassant pas 0°C, ce soit un excellent moyen de se
soigner. Enfin c'est comme ça) donc ça ne me poserait pas de problème
particulier si ça n'arrivait pas au moment où il ne fallait surtout pas
que ça arrive. Parce que ce week-end (vous n'allez pas le croire), ce
week-end, je le passe en dehors de chez moi (oh !!). Ui, ça paraît
étonnant, hein... je vais quitter mon écran pour aller voir (enfin) mon
ami que je connais depuis maintenant quelques mois. Ca fait vraiment
plaisir. Et puis dimanche, je vais voir une amie que j'apprécie
beaucoup. Je suis vraiment, vraiment content. Ca fait longtemps que
j'attendais ça. Un excellent week-end en perspective. J'espère
simplement que mon rhume se sera un peu calmé, et tout sera parfait.
Bon, bien sûr, il va m'arriver des tuiles, c'est certain. Y'aura bien
des trains annulés, des retards, une tornade, un incendie, ou quelque
chose comme ça. Mais rien ne pourra gâcher ces deux jours. J'essaie de
ne pas penser à mon retour, pas encore. Pas à la semaine qui vient, qui
va être pourrie, sans jolie perspective à la fin pour se motiver. Non,
je ne dois pas y penser... Carpe diem. Ahah.
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